Selon certains, le photobombing consiste à pourrir les photos des autres. Quelques dizaines d’exemples valent mieux qu’un long discours :
»» : “Photobombers Of The Day”
»» : Une galerie de photobombers
Selon d’autres, comme la Wikipédia US, le photobombing serait un happening artistique sur la durée. Il y a même un blog et un groupe Flickr consacrés :
»» : Photobombing (FAQ)
»» : Galerie Flickr de photobombing
Perso, je trouve le premier plus rigolo mais les risques de dérapage sont si énormes que je préfère nettement le second.
La science s’est enfin penché sur ce petit animal étrange qu’est l’ours gélifié. Son aspect translucide cache en réalité une anatomie parfaitement complexe.
Si vous êtes incapable de vous passer de votre téléphone portable ou de votre ordi portable, vous êtes peut-être nomophobique. Sans le savoir. Comme le Bourgeois gentilhomme qui prosait à l’insu de son plein gré.
»» : Une nouvelle maladie: la Nomophobia, affecte les anglais
J’adore ce regard fasciné qu’ont parfois les artistes, cette intensité quasi-palpable…
Via la National Gallery de Londres via Amateur d’art “par Lunettes rouges”* via un twitt de Jean-Luc Raymond (quand je vous disais que c’était un bon fil !…)
L’excellent Jean-Luc Raymond a donné un peu trop de tisane à son blog qui sommeille en peu. En revanche, il a dû donner du TaureauRouge à son fil Twitter. Il y a plein de bons liens dedans, sur les nouvelles technologies, le Net, la société de l’information, etc…
Larousse veut défier la Wikipédia et se positionner en première position dans les recherches. Mouais…
D’abord, comme le souligne Abondance :
« Larousse arrivera-t-il également à apparaître aussi bien que son concurrent Wikipedia dans les pages de résultats de Google ? Au vu de la faible optimisation (quasi inexistante en fait, au vu du code HTML des pages) de ses pages web pour les moteurs de recherche, la partie n’est pas gagnée d’avance… »
Ensuite, quand il faut commencer par s’identifier pour faire une recherche, j’ai tendance à fermer l’onglet et retourner voir ce que me propose d’autre la Wikipédia et Google.
Au moins, mon édition papier du Larousse n’est pas (encore ?) fermée par un cadenas à code. :)
Il y a une tendance forte à la guillemettisation systématique. On “retrouve” des “guillemets” n’importe où, mais vraiment “n’importe où”. La “preuve” en “images” ou “plutôt” sur un “blog” :