La connerie n’a pas de limite…
Et ça me navre chaque fois plus…
« A ce titre, la scène de l’émancipation mentale de la jeune femme est d’une puissance phénoménale. Alors qu’elle pensait avoir dupé son tortionnaire, elle se retrouve à nouveau à sa merci. Au lieu de montrer un nouveau déchaînement de sévices de la part du furieux misogyne, le cinéaste laisse au spectateur le loisir de l’imaginer seul.
A la place, il donne à voir le visage de la jeune femme, blanc éclatant sur un fond noir, et à entendre son rire sonore, et sa voix intérieure. En pleine séance de torture, elle formule cette conclusion apaisée : “Pourquoi fuir, au fond ? Ma situation d’esclave sexuelle n’est pas moins enviable finalement que celle d’esclave sociale à laquelle j’étais réduite en tant que vendeuse.” La liberté, la vraie, est à ce prix. »
[in : "Quand l'embryon part braconner" : cauchemar sadien sans issue - Le Monde]
Un jour, il faudra que les journalistes du Monde arrêtent de se toucher en regardant des films pornos japonais. Ils étaient déjà pas bien malins avant, mais après, ils n’ont plus un neurone de vaillant.
La liberté sexuelle, clé de la vraie liberté… Pardonne-leur, Benoite, ils ne savent pas ce qu’ils écrivent.
Pour commenter ce billet, merci de venir sur mon blog.
Sauf indication contraire, tous les droits sur ce contenu sont réservés.
Technorati Tags : Le Monde, Isabelle Regnier, touche-pipi
Faut bien les occuper les journaleux… alors les films nippons (derniers basxtion de la mysoginie pure dure et assumée dans le J8) ou peigner des giraffes ….
http://www.franquin-collector.co...
Mais ils se grattent la tête ces mecs.
Bon, le problème est qu’ils ont les c….. à la place du cerveau
Rikko > Je préfère ceux qui peignent la girafe, ils sont moins prétentieux ! ;)
Antoine > Le pire est que l’article est signé d’une femme. Affligeant…
toujours sexiste…
Gaston a perdu son pinceau